52. Cela, pour qu’il sache[243] que je ne l’ai effectivement point trahi en son absence, et qu’Allah ne mène point à bon terme la félonie des traîtres.
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[243] C’est toujours Zulikha, la femme d’Al-‘Aziz, qui parle. Elle avoue à celui-ci qu’elle n’a donc pas pu le trahir de fait, puisque Joseph l’en a empêchée. C’est donc un mal pour un bien, puisque l’aveu de Zulikha la culpabilise dans l’intention mais l’innocente dans les faits. Selon d’autres exégètes, cette parole serait attribuée soit à Zulikha soit à Joseph (qui déclarerait n’avoir pas trahi son maître Al-‘Aziz).