3. Celui Qui Pardonne[457] les péchés, accepte le repentir, a dure la punition et détient toutes les largesses. Il n’y a point d’autre divinité que Lui, et c’est vers Lui qu’est le devenir.
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[457] C’est ce verset qui donne son titre à la sourate. Cette traduction a le mérite de distinguer trois dérivés du trilitère arabe « ghafara » غفر, tous les trois employés dans le Coran : غفور, que nous traduisons par « Absoluteur », غفّار, que nous traduisons par « Très Absoluteur », et غافر, par « Celui Qui Pardonne ». Et nous destinons l’expression « Tout Absoluteur » à la traduction de التوّاب. Voir aussi la note 22.
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