Les bonnes œuvres accomplies par les mécréants, à l’image de l’aumône, la bienfaisance et la compassion envers les faibles, sont telles de la cendre éparpillée un jour de vent violent et transportée soudainement ne laissant aucune trace. Il en est ainsi des œuvres des mécréants qui ne seront d’aucune utilité le Jour de la Résurrection, puisque l’œuvre qui n’est pas fondée sur la foi revient à s’égarer loin de la vérité.